Je danse dans ma tête
Ces derniers jours, j'écoute principalement ces deux albums :
Le magnifique « I'm wide awake, it's morning » du groupe américain Bright Eyes mené par le jeune prodige de 24 ans : Conor Oberst. Né dans le Nebraska, vivant aujourd'hui à New York, auteur, compositeur, interprète, il navigue entre le folk, le pop et le rock. Cela fait terriblement cliché de le dire mais cela ressemble à du Dylan. L'album est magnifique, mélancolique, torturé, désabusé, un petit chef d'uvre. J'aime particulièrement « Train under water » que j'écoute en boucle.
You were born inside of a raindrop
I watched you falling to your death
And the sun, well, it could not save you
From falling down to the streets all wet
Body of water, toxic and timeless
Atlantic Ocean, New York skyline
I always get lost when I leave the village
So I couldn't come meet you in Brooklyn last night
Côté français résonne dans mes oreilles «Optimiste» de Stéphane Corbin.
Un peu de Lynda Lemay, un brin de Bénabar, un zest de Trenet et énormément de talent cela donne Stéphane Corbin Son album est fabuleux. Des mélodies faussement simples qui restent collée à l'esprit. De l'humour, de la poésie, de la mélancolie, du quotidien, de l'émotion qui ravivent des anciens souvenirs Une merveille.
Le bol retrace la vie avec pour fil conducteur un bol avec son prénom. Je me demande si mon bol existe encore dans les armoires de ma mère ? ! Il faudra que je mène une petite enquête.
Droit au but raconte avec un certain double sens l'histoire d'un homme allant chez le psy pour découvrir si il est normal de ne pas aimer le foot. Vraiment très drôle. D'autant plus qu'elle me rappelle des souvenirs très douloureux des parties de foot de mon enfance et de la gymnastique en général enfin je rigole ce n'était juste pas très agréable !
Le somptueux Avec un homme, le glaçant Dimanche 6 août, l'envoûtant Chaque seconde avec toi,