Muir Woods
Pour commencer, un petit mot pour les lecteurs réguiler de ce blog. Merci de suivre mes petites aventures. N'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires ! Et merci pour ceux envoyé. Il se peut que vous ayez lu le post nommé "The Rock" qui contient un passage "très méchant" sur une de mes profs d'anglais. J'ai écris cela dans un cocktail de colère et de fatigue. J'ai une manière excessive de réagir avec un certain type de personne autoritaire. Je me sens en quelques sortes "mis en cage" et cela me fait sortir de mes baskets ! Le problème ne vient biensûr pas de ma prof ... encore moins de ses compétences ... mais de moi ! Il m'arrive fréquement de réagir comme un adolescent et le soir où j'ai écrit ce post c'était le cas. Choisir l'enseignement dans ce qu'est devenu le pays de Whitman est une admirable vocation... car ce n'est pas dans cette profession que l'on fait fortune dans l'Amérique de G.W. Bush. Alors, j'ai effacé le texte en question. Vous souvenez vous de 1984 d'Orwel ... les personnes qui avaient pour fonction de récrire constamment l'histoire selon les besoins... et bein... je fais pareil !
Plus sérieusement, je ne considère pas mes posts comme quelque chose de figé ... mais d'évolutif ... Il ne faut pas non plus pensé que j'ai changé d'avis sur elle par ce que le sujet d'aujourd'hui était beaucoup plus glamour : Fame is fleeting. Que nous avons passé de Socrate à Alexandre le Grand en passant par Audrey Hepburn. Et qu'elle a lu Guerre et Paix ... non cela n'a vraiment rien à voir !!!
Et maintenant direction Muir Woods ...
Muir Woods est une forêt remplie de séquoias qui se trouve à vingt kilomètres de San Francisco. Il y a des arbres qui ont 2000 ans !
Vue de la skyline de San Francisco depuis Sausalito petite ville de l'autre côté de la baie.
Et encore est toujours le Golden Gate Bridge.
DeDe s'arrêta un instant pour contempler le Golden Gate qui scintillait.
- Ça ne rate jamais, hein ?
- Quoi? demanda D'orothea.
- Ça. Je veux dire... Ça ne vieillit jamais. Je suis née ici, et à chaque fois que je vois le pont, j'en ai le souffle coupé. Parfois, je me dis qu'il contient un énorme aimant qui m'empêche de partir.
- Tu veux partir ?
- J'y pense. Tout le monde envisage de partir, de temps en temps, non ? Le problème, c'est que, quand on est né au bout de l'arc-en-ciel, on n'a nulle part où aller, dit-elle en se retournant pour sourire à sa nouvelle amie. C'est pas juste, hein ?
Nouvelles chroniques de San Francisco
Armistead Maupin