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On n'est rien qu'une image
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23 mai 2005

They shoot horses, dont they ?

Rétrospective de Sydney Pollak à la cinémathèque.

On achève bien le chevaux datant de la  plus érotique des années : 1969 raconte un marathons de danse organisé pendant la Grande dépression. Le but du jeu faire danser des couples jusqu’à à épuisement total. Le couple survivant gagne le Jackpot.

Le film frappe en premier lieu par son humanisme. Comment ce macabre jeu va finir ? On souffre presque avec les protagonistes… à moins que l’on souffre vraiment d’être assis plus de deux heures sur les sièges de la cinémathèque avec une copie dans un état très médiocre. Je rigole … je n’ai pas vu le temps passer. Le scénario est parfaitement ficelé. Avec une unité de temps et de lieu comme dans les plus grandes tragédies Sydney Pollak nous offres une analyse intelligente des rapports de classe et des liens entre les êtres dans des situations extrêmes. Toute la bestialité humaine …

On découvre Jane Fonda éblouissante de force et de rage.

Tout le film pourrait tenir sur l’incroyable regard de Michael Sarrazin. Prodigieux et magnifique. Voilà toute la différence entre le théâtre et le cinéma. Ces détails subtils qui vaillent les meilleurs dialogues (enfin hormis ceux de Tennessee) … le cinéma est avant tout un art visuel !!!

onacheve1

onachevebien1

Petit détail hors contexte qui ne manquera pas de vous passionnez … ma voiture a passé l’expertise !! Ouf !!!!!

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